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Résumé
"Au Nicaragua, l’insertion des chrétiens dans la révolution populaire est une richesse pour l’Eglise. "
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Les Editions Karthala présentent la sélection des Incontournables, les ouvrages de référence.
La maison d'édition Karthala a été fondée en mai 1980, à Paris, avec pour objectif la publication et la diffusion de textes sur les questions internationales en rapport avec les pays du Sud. Vingt ans après les indépendances des années 1950 et 1960, le besoin se faisait sentir de nouvelles approches politiques de ce que l'on appelait alors le "Tiers monde", et en particulier de l'Afrique.
Détails
| ISBN | 9782865370879 |
| Nombre de pages | 168 |
| Hauteur | 215 mm |
| Largeur | 135 mm |
| Date de parution | 1983 |
| Date de publication | 01/11/1983 |
Editeur
Karthala
Collection
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Thématique(s)
Description complète
"Au Nicaragua, l’insertion des chrétiens dans la révolution populaire est une richesse pour l’Eglise. C’est la première fois, dans l’histoire humaine des révolutions, que des chrétiens se sont intégrés aussi profondément et positivement. Ce serait une perte pour l’Eglise si l’un ou l’autre d’entre nous laissait la révolution, car l’Eglise cesserait d’y rester présente pour y témoigner de Dieu. Si l’Eglise retirait les chrétiens de la révolution, celle-ci pourrait devenir athée."
Fernando CARDENAL
Au Nicaragua, l’insertion des chrétiens dans la révolution populaire est une richesse pour l’Eglise. C’est la première fois, dans l’histoire humaine des révolutions, que des chrétiens se sont intégrés aussi profondément et positivement. Ce serait une perte pour l’Eglise si l’un ou l’autre d’entre nous laissait la révolution, car l’Eglise cesserait d’y rester présente pour y témoigner de Dieu. Si l’Eglise retirait les chrétiens de la révolution, celle-ci pourrait devenir athée.
Fernando CARD
Au Nicaragua, l’insertion des chrétiens dans la révolution populaire est une richesse pour l’Eglise. C’est la première fois, dans l’histoire humaine des révolutions, que des chrétiens se sont intégrés aussi profondément et positivement. Ce serait une perte pour l’Eglise si l’un ou l’autre d’entre nous laissait la révolution, car l’Eglise cesserait d’y rester présente pour y témoigner de Dieu. Si l’Eglise retirait les chrétiens de la révolution, celle-ci pourrait devenir athée.
Fernando CARDE
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