GARDI Bernard, MAS Pierre et MOMMERSTEEG Geert
30,00 € TTC
Résumé
INSTITUT ROYAL DES TROPIQUES (Amsterdam)
Un album de photographies uniques et de cartes postales datant de la fin du XIXe et du début du XXème siècles.
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La maison d'édition Karthala a été fondée en mai 1980, à Paris, avec pour objectif la publication et la diffusion de textes sur les questions internationales en rapport avec les pays du Sud. Vingt ans après les indépendances des années 1950 et 1960, le besoin se faisait sentir de nouvelles approches politiques de ce que l'on appelait alors le "Tiers monde", et en particulier de l'Afrique.
30,00 € TTC
INSTITUT ROYAL DES TROPIQUES (Amsterdam)
Un album de photographies uniques et de cartes postales datant de la fin du XIXe et du début du XXème siècles.
ISBN | 3600125019887 |
Nombre de pages | 108 |
Hauteur | 240 mm |
Largeur | 160 mm |
Date de parution | 1990 |
Date de publication | 01/01/1990 |
Karthala
INSTITUT ROYAL DES TROPIQUES (Amsterdam)
Un album de photographies uniques et de cartes postales datant de la fin du XIXe et du début du XXème siècles.
Djenné, il y a cent ans nous livre une infime partie du mystère qui entoure cette ville africaine au passé légendaire, creuset de l'histoire, de civilisations, dont la beauté continue à nous fasciner. Djenné, ville deux fois millénaire, carrefour commercial, haut-lieu de l'Islam, aujourd'hui classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Il y a cent ans, en avril 1893, Djenné tombait aux mains des Français après s'être âprement défendue. C'est Albert Rouseau, médecin de l'armée française, qui nous offre un album de photographies uniques qui rend compte de la beauté du site et de la vie quotidienne de ses habitants à la fin du siècle. Au tournant du siècle, c'est Fortier, Danel et Simon qui produisent des centaines de cartes postales.
Aujourd'hui comme il y a cent ans, Djenné nous trouble et nous éblouit. Les photographies et cartes postales ici reproduites nous restituent une part du mystère de Djenné, mystère alimenté par uen foi taillée dans la pierre, forgée dans la glaise, transmise de génération en génération, symbolisée dans la grande mosquée.
"Djennée est à nous", écrit Archinard, son conquérant, en 1893. Non, Djenné est aux Djennnéens, à ce peuple, ces peuples qui l'ont construite, entretenue, qui lui ont donné son âme. Tous les témoignages l'attestent, au tournant du siècle, Djenné était une véritable ville riche et prospère.