Le récit autobiographique de Michel Lémonon s'arrête peu avant la condamnation des prêtres-ouvriers, le 1er mars 1954, date à laquelle Rome aviat fixé son ultimatum pour mettre fin à "cet...
Le récit autobiographique de Michel Lémonon s'arrête peu avant la condamnation des prêtres-ouvriers, le 1er mars 1954, date à laquelle Rome aviat fixé son ultimatum pour mettre fin à "cette expérience, telle qu'elle a(vait) évolué jusqu'à ce jour". Ce diktat signifiait pour eux le déni de leur apostolat. Il les plaçait devant un dilemme difficile à résoudre : devaient-ils obéir à l'injonction de leur hiérarchie qui les avait envoyés en mission ou rester au travail. Michel Lémonon (qui s'est identifié à un personnage fictif "Laurent") n'a pas dévoilé ses intentions. Il a préféré clore son récit par l'évocation de la nuit, suggérant la déréliction de son personnage et le choix impossible auquel il fut confronté
Le récit autobiographique de Michel Lémonon s'arrête peu avant la condamnation des prêtres-ouvriers, le 1er mars 1954, date à laquelle Rome aviat fixé son ultimatum pour mettre fin à "cet...